Depuis plusieurs semaines, le monde a les yeux rivés sur la Chine et son coronavirus. L’inquiétude monte chez les opérateurs des marchés et les cours plongent dans le rouge. Mais comment un virus arrive à impacter à ce point le commerce mondial de produits agricoles ?
Le développement du coronavirus en Chine risque de baisser le niveau de la demande chinoise, ce qui va conduire à un ralentissement de ses imports de biens agricoles au cours des prochains mois, déjà compromis face à la fièvre porcine qui ravage les cheptels porcins à travers le pays et limite ses besoins en soja. D’autant plus que l’épidémie pourrait bien durer au moins plusieurs mois, selon des experts cités par nos confrères de Ouest France.
« La propagation du coronavirus inquiète fortement les opérateurs de l’ensemble des matières premières », affirmait Agritel ce mardi dans un communiqué. « Le risque d’un ralentissement de la croissance mondiale et la limitation des échanges a engendré une baisse des différentes bourses et du pétrole cette semaine ».
Des agriculteurs manifestent depuis plusieurs jours à travers l’Espagne pour dénoncer les « prix de misère » auxquels ils vendent leurs produits aux intermédiaires et à la grande distribution.
De nouvelles manifestations ont eu lieu vendredi dans les provinces d’Avila (centre) et de Soria (nord-est) en Castille-et-Léon et un nouveau rassemblement est prévu le 5 février à Madrid. Mercredi 29 janvier, l’une de ces manifestations a été marquée par des heurts entre agriculteurs et forces de l’ordre à Don Benito en Estrémadure (sud-ouest) aux abords de la foire agricole à laquelle participait le ministre de l’Agriculture Luis Planas. Et jeudi, des producteurs d’olives ont coupé des routes dans la province de Jaen (sud-est) en Andalousie.
Les trois principaux syndicaux agricoles – Asaja, COAG et UPA – ont convoqué ces mobilisations depuis mardi pour « dénoncer la grave situation de manque de rentabilité » des exploitations. Ils dénoncent « les prix bas » offerts aux producteurs et l’augmentation des coûts de production.
Symbole de la vulnérabilité du pays, le lac Tchad a perdu 90% de sa superficie en quatre décennies.
Le rapport fait état d’événements climatiques extrêmes, dont des épisodes pluvieux violents. Le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA) publiait en novembre dernier un rapport de situation. De fortes pluies avaient causé au mois d’octobre des « inondations généralisées » qui avaient touché plus de 170 000 personnes.
Les conséquences sont immenses quand on sait que plus de 80% de la population vit des ressources agricoles et pastorales. Les changements climatiques sont ainsi ressentis dans tous les secteurs, de la pêche à l’élevage et à l’agriculture, tout en mettant également en péril les domaines de la santé et du logement.
Un modèle de ferme bio intensive pour transformer l’agriculture mondiale. « Ce qu’on veut, c’est remplacer l’agriculture de masse par une masse d’agriculteurs ».
Une ferme à « échelle humaine » et rentable, c’est ce qu’a créé le québécois Jean-Martin Fortier. Et il souhaite montrer qu’une révolution agricole est possible.
Au Québec, Jean-Martin Fortier a fondé les Jardins de la Grelinette, une micro-ferme bio intensive devenue un modèle du genre.
« L’idée, c’est de multiplier le nombre de petites fermes. Ce qu’on veut, c’est remplacer l’agriculture de masse par une masse d’agriculteurs qui font une agriculture de bienveillance », affirme Jean-Martin Fortier, agriculteur québécois. Il a fondé il y a 15 ans les Jardins de la Grelinette une micro-ferme bio intensive.
Le 31 janvier, le Royaume-Uni sort officiellement de l’Union européenne. Après trois ans et demi de difficiles négociations, un accord a enfin été trouvé, ouvrant la voie à… une nouvelle période de négociations. Avec déjà, de multiples points d’accroches.
Le décompte commence au 31 janvier. Le Royaume-Uni et l’Europe ont jusqu’à fin 2020, soit 11 mois, pour définir le cadre de leur nouvelle relation. Un temps record puisqu’aucun accord commercial n’a encore été conclu en si peu de temps.
Pour sa part, Boris Johnson a annoncé la couleur : il ne reviendra pas sur la durée de la période de transition, et ne s’alignera pas non plus sur les lois européennes. Ni allongement, ni alignement.
Les discussions s’annoncent donc compliquées, d’autant que les sujets sensibles ne manquent pas : agriculture, pêche, droits de douane, conditions d’accès pour les futurs candidats à l’immigration… Découvrez les enjeux des prochaines négociations dans cette vidéo.
A l’occasion du 130ème anniversaire de la création de Kubota, le Nippon dévoile ses projets à plus ou moins long terme.
Nous savions Kubota investi dans les véhicules agricoles autonomes, le constructeur japonais a confirmé sa volonté de poursuivre le développement de produits dans ce sens à l’occasion de son 130ème anniversaire. Avec en point d’orgue, la présentation du concept-tractor X Tractor. Doté d’une intelligence artificielle, ce tracteur électrique, sans cabine, revêtu d’un panneau photovoltaïque, ce tracteur est pourvu de quatre chenilles se déformant pour privilégier au choix, la surface de contact, et donc la traction, ou la garde au sol. Chacune dispose d’un moteur électrique indépendant permettant au X Tractor de tourner très court.
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